La parole aux clients

ARC RHÔNE-ALPES

Le brand content sur les bancs de la fac

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Corinne Sainte-Colombe est chargée de projets pour l'ARC 5.

En quoi consistent les Communautés de recherche académique (ARCs) ?

Corinne Sainte-Colombe : Construits sur la base des clusters de recherche, les ARCs ont vu le jour début 2012 en Rhône‑Alpes. On en compte huit et chacun possède sa spécificité : santé ; qualité de vie et vieillissement ; environnement ; énergies ; cultures, sciences, sociétés et médiations ; TIC et usages informatiques innovants ; innovations, mobilités, territoires et dynamiques urbaines ; industrialisation et sciences du gouvernement. Ils ont l’ambition d’animer un réseau de chercheurs, de doctorants et de partenaires socio‑économiques et culturels.


Quels sont les objectifs du Journal de bord ?

C. S.-C. : Ce document, qui est à mi‑chemin entre le yearbook et le rapport annuel, met en avant les réalisations importantes et emblématiques de chaque ARC. Il permet de donner la parole aux responsables, aux doctorants soutenus par le dispositif ARC, aux partenaires… Le journal valorise donc les travaux et montre la diversité des approches et sujets traités par les ARCs.

Sur un plan plus institutionnel, l’édito de Jean‑Jack Queyranne, président du Conseil régional de Rhône‑Alpes, vient souligner la mobilisation de la Région pour accompagner la recherche. Enfin, le Journal de bord explique le fonctionnement des différentes communautés et leurs programmes scientifiques.


Comment le support a‑t‑il été réalisé ?

C. S.-C. : Nous avons, avec l’aide d’Ultramedia, créé un chemin de fer pour le Journal de bord. Ensuite, nous nous sommes attachés à définir ensemble des sujets pertinents et porteurs de sens. Au fur et à mesure, notre projet s’est affiné : nombre et taille des articles, illustrations, planning... Les journalistes sont alors intervenus. Ils ont interviewé une ou deux personnes pour chacun des 40 articles avant de les rédiger. Les deux étapes de validation, d’abord scientifique avec les personnes interrogées, puis institutionnelle avec la gouvernance de chaque ARC, ont finalisé la production éditoriale.


Le Journal de bord vous sert également d’outil de promotion ?

C. S.-C. : Chaque ARC possède en effet sa propre philosophie et se sert justement du Journal de bord pour la nourrir et faire passer des messages. De plus, chacun des réseaux développe une offre de compétence qui lui est propre (ingénierie de projets, organisation d’événements, formation continue, valorisation du patrimoine…). Aussi, le Journal de bord constitue pour ces structures un support d’appui et de promotion de ces actions pour trouver de nouveaux partenaires…


Qui sont les principaux destinataires de ce Journal de bord ?

C. S.-C. : Nous en avons envoyé près de 1 500 exemplaires. Tous les présidents de Région ont pu apprécier le dispositif de soutien à la recherche mis en place en Rhône‑Alpes. Les Départements, les organismes consulaires, les établissements de recherche et universités impliqués dans les ARCs, mais aussi les partenaires économiques, sociaux et culturels ont aussi reçu leur Journal de bord. Et pour renforcer la visibilité du document, une version digitale est téléchargeable sur le site web des ARCs. Au final, le document a reçu un très bon accueil. La Région aimerait d’ailleurs rééditer l’expérience cette année !